Voici quelques livres que l’on peut commander directement en cliquant dessus !
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Découvrir le kendo
Cl. Hamot et Yoshimura K.,
Amphora, collection Budoscope. |
Commentaires : voici une excellente introduction au kendo. C’est le livre idéal pour tout débutant. Nombreuses illustrations, explications claires et détaillées. Il ne manque que les kata. |
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Kendo
Pierre Delorme,
La Maisnie – Tredaniel. |
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Le kendo
Cl. Regoli,
De Vecchi – Vie Quotidiènne. |
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Kendo moderne
G. H. Perrin,
Chiron. |
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Kendo: the definitive guide
H. Ozawa, A. Turzynski,
Kodansha International. |
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Kendo no kata: forms of Japanese kendo
M. Finn. |
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Fundamental kendo
Zen Nihon Kendo Renmei. |
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Arts martiaux et sports de combats,
le guide du pratiquant
Dr. H. Tisal,
Collection Sport et médecine, Insep publications. |
Commentaires :cet ouvrage, même s’il n’est pas destinée précisément au Kendo est intéressant pour tout pratiquant d’arts martiaux. Il engobe toutes la physiologie et la préparation à la pratique tant du niveau psychologique que des assouplisements et de la musculation. On y trouve certaines techniques pour éviter entres autres les petits accidents que l’on rencontre en Kendo. Il est l’oeuvre d’un médecin de L’INSEP qui est medecin des équipes de France de Karaté et de Tae Kwon Do. |
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Le chrysanthème et le sabre,
R. Benedict,
Picquier. |
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Européens & Japonais,
Traité sur les contradictions & différences de moeurs
R. P. Luis Frois,
Chandeigne. |
Commentaires : où l’on apprend que : «avant de porter l’armure, il nous faut revêtir par-dessous une cotte de toile ; les Japonais, quand ils portent l’armure, restent nus au-dessous comme leurs mères les mirent au monde». Ce texte, écrit en l’an 1585 par le moine portuguais R. P. Luis Frois, est un témoignage précieux sur la vie quotidienne au Japon. Préface de Cl. Lévi-Strauss. |
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Histoire du Japon
G. Sanson,
Fayard. |
Commentaires : «Le» livre d’histoire du Japon. Pour tout ceux qui s’intéressent à l’histoire de ce pays des origines à l’ouverture (1868). Ouvrage monumental (plus de 1000 pages en petits caractères), accompagné d’un impressionnant appareil de notes, le «Sanson» reste le livre de référence incontournable sur l’évolution de la société japonaise depuis ses origines. A consulter plutôt qu’à lire. (jjl) |
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Le Japon moderne et l’éthique samouraï,
La voie du Hagakuré
Y. Mishima,
Gallimard, collection Arcades. |
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Traité des cinq roues
M. Musashi, traduction : M. Shibata,
Albin Michel, Spiritualités vivantes. |
Commentaires : au XVIe siècle, Miyamoto Musashi, le plus fameux escrimeur du Japon, se retire dans une grotte quelques mois avant sa mort et rédige ce classique de la littérature japonaise. Ce texte nous livre ses réflexions sur l’art de la guerre à partir desquelles il tire son art de vivre et d’agir. La traduction de cette édition n’est malheureusement pas très bonne ; de nombreux passages sont totalement incompréhensibles. |
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Miyamoto Musashi
K. Tokitsu,
Desiris. |
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Les Japonais et le sabre,
K. Yoshimura,
Typographica. |
Commentaires : l’ouvrage est sur papier glacé avec une très belle couverture noire. C’est certainement un beau cadeau et la compétence de son auteur en fait un élément essentiel de toute bibliothèque de kendoiste. (lc) |
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The Unfettered Mind : Writings of the Zen Master to the Sword Master
Takuan Soho, William Scott Wilson (Translator)
Kodansha International. |
Commentaires : Takuan Soho, célèbre prélat d’une secte Zen et calligraphe, a été un contemporain de Miyamoto Musashi. La légende veut qu’au tout dernier moment de sa vie il ait écrit le kanji «yume» (rêve), posé son pinceau puis se soit éteint. Ce recueil est constitué de trois lettres qu’il a adressées à Yagyu Munenori et, probablement, à Ono Tadaaki, directeur de l’école d’escrime Itto et instructeur de la famille du shogun. Ces textes écrits pour la classe des samourai font le lien entre l’esprit du Zen et celui de l’escrime. La travail de traduction est remarquable ; clair et assez bien annoté (ce qui nous change des désastreuses traductions du Traité des Cinq Roues !), voilà un livre qui se lit avec beaucoup de plaisir. |
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La voie du samouraï
T. Cleary,
Editions du Seuil, Inédit Sagesses. |
Commentaires : ce livre tente de démystifier le «prétendu mystère japonais» et la paramoïa antinipponne occidentale. Malgré certains passages abscons, c’est un passionnant essai sur la place du bushido dans la culture japonaise. |
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La Pierre et le Sabre, T1 & T2
Y. Eiji,
J’ai Lu. |
Commentaires : Y. Eiji est un peu le A. Dumas du Japon, et son roman de la vie et des aventures de Miyamoto Musashi est un monument de la littérature moderne japonaise. Porté plusieurs fois à l’écran, une nouvelle version télévisée est tournée et diffusée pratiquement chaque année. L’histoire du spadassin solitaire est au moins aussi célèbre au Japon que la fameuse (et encore plus romantique) aventure des 47 ronins. La traduction française de cet ouvrage fait honneur à l’original et chacun aura plaisir à lire les aventures du garnement Musashi dans sa quête sans concession de la voie du sabre. Les combats y sont picrocolins, les personnages picaresques et les jeunes filles affublées de destins tragiques comme il sied à tout roman japonais digne de ce nom. Certes Eiji a peut-être pris un certain nombre de libertés avec la réalité historique et certains épisodes (Musashi attrapant les mouches avec ses baguettes, Yagyu reconnaissant la maîtrise de Musashi en inspectant la tige d’une fleur tranchée par ce dernier) sortent droit de l’imagination de l’auteur mais il n’empêche que ce roman viendra compléter (et agrémenter) l’étude du très aride «traité des cinq anneaux» du héros (réel) du roman. (jjl) |
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Le maître de thé,
Y. Inoué,
Le Livre de Poche. |
Commentaires : ce fascinant roman historique de Y. Inoué (publié l’année même de sa mort) se situe à une époque charnière de l’histoire du Japon, quelques années avant sa pacification au début du 17e siècle. Monsieur Rikyu, grand maître de thé se fait hara-kiri sur ordre du Taïko Hideyoshi. Son humble discipline Honkakubo cherche à comprendre pourquoi… et si Rikyu avait lui-même provoqué son exil et décidé de son sort ? L’une des tâches les plus importantes de Rikyu était d’organiser des cérémonies du thé pour les samouraïs avant de partir pour le champ de bataille. Pourquoi avait-il fait de ce rituel sensuel un acte grave ? N’avait-il pas fini par faire de sa salle de thé l’antichambre de la mort ? Etait-il possible pour ces maîtres de thé de mourir dans leur lit ? Honkakubo mène une enquête haletante où se mèlent figures historiques et préceptes zen, peintures chinoises et art raffiné de la calligraphie, un inventaire déconcertant de spatules, bols, cruches, porte-louches, braseros et de cérémonies du thé un soir de pleine lune sous les cerisiers en fleurs… |
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Dojo, le temple du sabre
P. Delorme,
Budo, Sport – Loisirs. |
Commentaires : récit autobiographique. Un occidental découvre la vie d’un dojo où on pratique les arts traditionnels du sabre. Très belles illustrations. |
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Shogun, T1 & T2
J. Clavel,
J’ai Lu. |
Commentaires : Tiré d’un fait divers authentique J. Cavel a fait des aventures de Blackthorn et de la ravissante Mariko une véritable épopée exotique au pays du Soleil Levant au 17e siècle. Les têtes roulent sur le sable, les répugnants étrangers sont boullis tout vifs, les sourires des Daimyos diaboliques et sadiques valent arrêt de mort, les Ninja meurent en se mordant la langue, bref la totale. A lire (personnellement j’ai adoré) pour se reposer l’esprit avec quelques aphorismes très «americains» (regarder les pierres qui poussent !) et des scènes inoubliables (Blackthorn et Toranaga se soulageant ensemble du haut des fortifications !). Roman japonais pour gaijins. (jjl) |
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Les samouraï
Mabire,
Breheret. |
Commentaires : Malheureusement épuisé en librairie et non réédité, cet ouvrage fort bien documenté est un résumé de l’histoire mythologique et historique du Japon et des Samurai. Bien écrit, le lecteur plongera sans difficulté dans les méandres d’une histoire que les auteurs ont su simplifier sans (trop) la déformer. Il est cependant parfois difficile de faire la différence entre le réel et l’imaginaire et certaines histoires (la geste de Yoshitsune, la vengeance des 47 Ronins) sont davantage des adaptations de versions pour le théatre Kabuki ou le cinema que la relation scrupuleuse des faits historiques. On pourra peut-être aussi regretter l’importance, à mon sens exagerée, accordée à l’écrivain Y.Mishima dont la vie et le comportement sont bien éloignés de la version romancée presentée dans ce livre et déplorer un certain manque de recul dans l’apologie de certaines actions «héroiques». (jjl) |
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L’honorable partie de campagne,
T. Raucat,
Gallimard. |
Commentaires : Fatigué d’analyser la pensée de Deshimaru ? Epuisé par la lecture du Gorin-no-sho ? Besoin de s’aérer le cerveau ? «L’honorable partie de campagne» est pour vous. Probablement la meilleure nouvelle comique sur le Japon qui ait jamais été écrite. Elle retrace, au travers du recit de quelques uns de ses acteurs, les extraordinaires aventures d’un honorable étranger dragueur de jeunes filles vers 1920 dont les projets (coquins) d’excursion à Enoshima (le mont St Michel local) sont en permanence contrariés par le comportement décidement incompréhensible des Japonais. Plus de soixante dix ans nous séparent de cette époque et pourtant tous ceux qui ont approché le Japon et les Japonais seront frappés par l’actualité des portraits tracés et découvriront avec amusement que la science typiquement japonaise de compliquer les plus simples situations ne date pas d’hier. L’honorable professeur Kamei spécialiste du droit Celte, l’honorable industriel inventeur du Panama fourré pour l’hiver, le chef de la petite gare de Fujisawa et son souci d’étiquette et de défense de la patrie, la jeune mademoiselle Geisha qui ne pense qu’à l’achat de l’appareil photo le plus cher et le plus gros, sont autant de personnages inoubliables. (jjl) |
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Anthologie de la poésie japonaise classique
G. Renondeau,
nrf, Poésie/Gallimard. |
Commentaires : indispensable pour découvrir la délicatesse et le goût exquis des chôka, tanka et autres haiku :
« Le voleur
M’a tout emporté, sauf
La lune qui était à ma fenêtre. » |
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Sword and brush: the spirit of the martial arts
D. Lowry,
Shambhala Pubns. |
Commentaires : livre érudit, passionnant et bien écrit, il aborde sans ésotérisme ni grandiloquence l’aspect culturel des arts martiaux, le côté «ura» du bushido. Bien plus que de simples sports de combats, ces disciplines enseignent une certaine éthique. A travers l’étude de l’«étymologie» de divers kanji liés aux arts martiaux, l’auteur rend plus compréhensiblescertains concepts abstraits (hara, yoyu, kan etc.), révèle certaines nuances difficilement traduisibles par un seul mot en français (do, wa, kata, ryu etc.) et en banalisent d’autres prétendument mystiques (jutsu, ki, oku etc.)… On en redemande ! |
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Masters of Japanese calligraphy, 8th-19th Century
by Y. Shimizu, J. M. Rosenfield,
Frederic C. Beil, Inc. |
Commentaires : faramineuse anthologie ! une mine d’or… dommange que la qualité du papier et des reproductions ne soient pas à la hauteur. |
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Un rêve pour toutes les nuits
L. Bresner, illustré par F. Mansot, calligraphie de Dong Qiang,
Actes Sud Junior. |
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Le Zen dans l’art chevaleresque du tir à l’arc
G Herrigel,
Dervy éditions, L’Etre et l’Esprit. |
Commentaires : Si le livre tiré des entretiens avec Deshimaru doit effectivement être lu avec (beaucoup) du recul, l’ouvrage de référence sur le Zen dans les arts martiaux est (de loin) cet ouvrage du philosophe Herrigel. Loin d’être un traité abscons et hermétique parsemé de Koans impénétrables, ce petit opuscule qui raconte l’expérience de Herrigel se lit comme un roman. L’auteur dut d’ailleurs être le premier surpris du succès de ce «journal» sans aucune prétention érudite. Le lecteur découvrira en suivant les premiers pas de l’auteur dans le difficile art du tir à l’arc japonais une introduction au Zen à la porte du commun des mortels. Le pratiquant de Kendo et de Iai s’y reconnaitra et trouvera certainement matière à réflexion. A déconseiller aux amateurs d’aphorismes hermétiques et de lévitation transcendentale. (jjl) |
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Bouddhismes, philosophies et religions
B. Faure,
Flammarion, collection Essais. |
Commentaires : La mise en perspective de differents aspects du bouddhisme (il faudrait dire des bouddhismes) avec certains courants de la pensée occidentale est passionnante. Malgré tout, ce livre est assez «ébouriffé», confus dans son organisation. Par ailleurs, il nécessite d’avoir une solide culture philosophique et une connaissance préalable des diverses formes de bouddhismes pour saisir son propos mais aussi ses trop nombreuses allusions et remarques sibyllines… visiblement, l’auteur est dévoré par son sujet ! |
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Zen & Arts Martiaux
T. Deshimaru,
Spiritualités vivantes, Albin Michel. |
Commentaires : salmigondis d’inepties du style : «Dans les arts martiaux, il faut pénétrer les éléments, les phénomènes et ne pas passer à côté. Les arts martiaux sont donc essentiellement virils car l’homme pénètre la femme.» |
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The art of Japanese swordmanship: a manual of Einshin-ryu iaido
N. Suino, Weatherhill. |
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Flashing steel
M. Shimabukuro, S. M. Shimabukuro, L. Pellman,
Frog Ltd. |
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Bokken art of Japanese swordD. Lowry, M. Lee,
Ohara Publications. |